Vingt-cinq ans sonnèrent
Le quart le quart
Vingt-cinq ans sonnèrent
Le quart d’heure séculaire
Le quart, l’écart
Le quart d’heure des sorcières
A la moitié du quart
L’apothéose plose en pot aux roses
En sarabande sardonique
En ronde des saisons,
En dessaisie, en déraison
En valse à quatre
A quatre pattes
A quatre temps
A temps de chien
Six et six douze, si saisit le doute, temps s’écoule et je coule
Sur l’aporie à l’heure de l’aphélie
Plante Perséphone à l'automne ;
Raccrochés manteau, promesses en l'air, besogne
Et téléphone
Allo répond
Ça sonne
Où
Quand
Quand es-tu Perséphone
Qu’en est-il, tu déconnes
C'est la saison des blés fauchés qui sonne
Tes pensées fuitent
Elles te fuient comme la peste
Tu les répugnes, elles se révulsent
Comme dans le feu les vanités de Savonarole
Comme sur l’elliptique
Tes orbites épileptiques
Comme dans le feu les viandes de Savonarole